Paula a un mal de chien pour lire et parler. La médecine a diagnostiqué qu’elle était dyslexique. Un vrai calvaire surtout lorsqu’elle doit répondre au téléphone.
Imaginez la scène : alors qu’elle a toutes les peines du monde à s’exprimer et que son interlocuteur lui demande de quoi elle souffre, la voici incapable de dire le nom de sa maladie tant le mot dyslexie est difficile à prononcer pour un dyslexique !
Certes, comme beaucoup de mots français, dyslexique peut s’expliquer par son étymologie(1) mais n’aurait-on pas pu trouver plus simple à prononcer pour ceux qui en souffrent ?