J’interroge mon mari d’un air éberlué : « Tu vas encore mettre ce pantalon ? Il n’est pas un peu trop petit et surtout trop délavé ? » « C’est mon préféré ! » rétorque-t-il. Je soupire… : « Comme tu veux. » Quelques jours plus tard, il revient du travail de mauvaise humeur et avoue en bougonnant : « Mon pantalon m’a gêné toute la journée, je suis trop coincé dedans. Je vais m’en racheter un. » En revenant du magasin, il est tout fier : il en a pris deux qui lui plaisaient beaucoup. Il a osé se faire plaisir !
Quand on n’ose pas
Spontanément, j’ai pensé que nous n’osons pas nous faire plaisir pour ne pas...