Le jour où tout a basculé - Le récit d’un miracle
Le récit que vous allez lire frappe les cœurs et les esprits.
Si Dieu est vraiment le Dieu des miracles, nous en avons ici la confirmation éclatante. Après un accident aux conséquences gravissimes, Marceau, le fils de l’auteur de ce vibrant témoignage, âgé de quinze ans à l’époque, semblait condamné par la médecine des hommes. Un cas extrême, presque désespéré. Marceau est, en effet, resté plusieurs jours entre la vie et la mort. Ses parents, Michaël et Marie, officiers de l’Armée du Salut, luttaient dans la prière et ne lâchaient pas la main de Dieu. Leur foi était mise à l’épreuve. Leur résistance, s’opposant au désespoir légitime, s’est révélée sans faille.
Mais ce qui est le plus extraordinaire dans le vécu de cette famille, c’est certainement la foi inébranlable de l’adolescent, sa résistance spirituelle, sa confiance en son Dieu manifestée dans la prière personnelle, et témoignée auprès des soignants. C’est cela surtout qui émeut dans le récit écrit par le père de Marceau.
Un jeune garçon de quinze ans, en danger de mort, souffrant de manière extrême, s’en remet à son Seigneur et croit intensément en la vie. Magnifique témoignage !
La fin de l’histoire est également extraordinaire : Marceau a rapidement repris des forces, est retourné à ses études et s’est remis à son sport préféré, le basket, dans lequel il excelle.
Toutes celles et ceux qui ont uni leur foi en priant pour Marceau ont pu se réjouir avec lui et sa famille. Ils ont eu la preuve évidente que le Dieu en qui ils mettent leur confiance est un Dieu d’amour, de salut et de guérison.
C’est avec un cœur rempli de reconnaissance et une foi renouvelée dans le Dieu des miracles, que les lecteurs du témoignage de la famille Druart termineront ce récit poignant. C’est ce que j’éprouve moi-même, et souhaite à chaque lectrice, à chaque lecteur, de le ressentir profondément.
Pasteur Charles A. Gabel