Cela avait commencé avec mon aînée. À l’arrivée de notre deuxième enfant, je me réveillais en pleine nuit, submergée par l’angoisse et la question de la dégradation de l’environnement dans lequel mes enfants allaient grandir. C’était de l’éco-anxiété, mais je n’avais pas de mot à poser dessus. Aujourd’hui, si je n’ai pas de réponses, j’ai opéré en revanche un certain nombre de changements : je suis passée à l’action.
Des choix professionnels
Mon cheminement écologique m’a conduite à changer d’emploi et à travailler pour une organisation de protection de l’environnement. En parallèle, je suis investie dans un mouvement de scoutisme*. Leur approche me plaît énormément car elle englobe tous les aspects de la vie : la relation à soi, à son corps, aux autres, à Dieu et à son environnement.
J’ai un rapport fort à la nature, à sa préservation et une réelle...