16 septembre 1941, Seize personnes se réunissent à Pomeyrol. Huit thèses sont alors élaborées.
Les quatre premières portent sur les rapports de l’Église et de l’État ;
la sixième sur le respect des libertés individuelles ;
la septième « élève une protestation solennelle contre tout statut rejetant les juifs hors des communautés humaines » ;
la dernière considère comme une « une nécessité spirituelle la résistance à toute dictature totalitaire et idolâtre ».
Les thèses de Pomeyrol seront discutées les mois suivant dans diverses rencontres de pasteurs et de responsables protestants, et on peut penser que leur écho a été démultiplié.